« Il me fit mal, et je lui donnai un soufflet. »
L’anti-Justine, Restif de la Bretonne (1798)
À quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt ; mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.
À cette époque, mon père n’osait plus m’asseoir à cul nu sur ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con ; il se retirait dès que je donnais le premier signe d’éveil.