« Ceux qui souffrent par l’amour sont, comme on dit de certains malades, leur propre médecin. »
A la recherche du temps perdu
Les mots de Gilberte : “Si vous voulez, continuons à lutter“me firent horreur. Je l’imaginai telle, chez elle peut-être, dans la lingerie, avec le jeune homme que j’avais vu l’accompagnant dans l’avenue des Champs-Élysées. Ainsi, autant que (il y avait quelque temps) de croire que j’étais tranquillement installé dans le bonheur, j’avais été insensé, maintenant que j’avais renoncé à être heureux, de tenir pour assuré que du moins j’étais devenu, je pourrais rester calme.