#Progresser

Dans 26 jours, le Bac – Leçon d’anglais : les prépositions

In ou into ?
On utilise in (dans) quand on localise quelqu’un ou quelque chose.
Ex. : He’s in the kitchen. Il est dans la cuisine.
On utilise into (dans) pour indiquer que l’on pénètre dans un lieu.
Ex. : Someone went into my bedroom when I wasn’t in. Quelqu’un est entré dans ma chambre alors que je n’y étais pas.

At ou to ?
On utilise at (à) quand il n’y a pas de mouvement.
Ex. : They’re at school. Ils (Elles) sont à l’école.
On utilise to (à) quand il y a mouvement, déplacement d’un point vers un autre.
Ex. : They’re going to school. Ils (Elles) vont à l’école.

To ou from ?
On utilise
from
(de) quand on se réfère à la provenance, à l’origine.
Ex. : She’s from London. Elle est de Londres.
On utilise to (de) quand on se réfère à la direction, à la destination.
Ex. : I saw him on the train to London. Je l’ai vu dans le train de (qui allait à) Londres.

Et les indispensables à connaître : TABLEAU P 53 (haut de page)

Dans 27 jours, le Bac – L’astuce de François Dufour

1° Faire une bonne introduction en respectant ces quatre temps :
– Une bonne accroche pour réveiller le correcteur, en deux phrases maximum. Utilisez une
– Définir les termes du sujet
– Mettre en évidence le problème. Si le sujet termine par un point d’interrogation, on doit répondre à la question. Si le sujet se termine par un point, on doit définir le problème soulevé par le sujet
– Annoncer le plan en 2 ou 3 parties

2° Pour faire un bon plan :
– Suivre une structure basique : Affirmation, explication, nuance, mini conclusion
– Aérer les parties. Séparer en paragraphes.
– Faire des transitions entre les parties et même à l’intérieur.

3° Pour faire une bonne conclusion :
– Plus courte que l’intro, elle reprend les grandes idées du plan.
– Répondre clairement à la problématique.
– Elargir sur une autre question. Suggérer que le problème débouche sur d’autres problèmes.

Dans 28 jours, le Bac – Le coup de mou

La première chose à faire est de se poser. On peut : prendre une tasse de thé, un verre de jus de fruits, prendre un bain, sortir faire un tour ou mettre une musique motivante qu’on aime tout particulièrement.

On évitera tous alcools, médicaments et excitants. Bien installé, on écoute son histoire :
– qu’est-ce qui bloque : est-ce personnel ? (Est-ce l’autre ?) Est-ce qu’on s’y est mal pris ?
– qu’est-ce qui « ne marche pas » ? Notamment quelle erreur fait-on ? Et pourquoi ?

Posez-vous ces questions sans vous juger immédiatement ou vous censurer. C’est le début de ce qu’on appelle « s’occuper de soi pour comprendre ». On essaie de tirer parti de ses erreurs. On réfléchit sur ce qu’il faudrait faire à la place. On constate :
– ses manques – notamment de préparation – d’une part ;
– l’état de ses ressources d’autre part.

Si c’est trop difficile tout seul, n’hésitez pas alors à en parler à un(e) ami(e). Exceptionnellement, si tout va mal et que cela dure, prenez conseil auprès d’un professionnel. Une aide ponctuelle peut permettre de passer un cap qu’on croyait infranchissable.

S’occuper de soi est un préalable à des révisions efficaces. Nous avons tous des limites et des difficultés. N’en faisons pas un rituel de vie. S’occuper de soi, c’est apprendre à devenir soi, en équilibre dynamique entre ses valeurs, ses choix et, malgré tout, les contraintes sociales.

Dans 29 jours, le Bac – Un plan d’action à un mois du but

– Organisez-vous un emploi du temps pour revoir tous les chapitres, une première fois calmement, pour vous assurer que vos cours et fiches sont complets.
– On revient calmement sur les points qu’on a oubliés ou qu’on ne comprend plus. On met l’accent sur la compréhension d’ensemble.
– On récapitule la structure du savoir et les points capitaux, éventuellement en les écrivant. Cela permet de vérifier ensuite que l’on n’a rien oublié. Pour cela, on se fait un planning de points à revoir par semaine et par jour. Utilisez au mieux les midis, les soirées et les journées libres.
– On refait les exercices, on revoit les dissertations, on répond aux questions. On essaie de répondre rapidement, en s’imaginant en situation d’examen, face à une feuille ou face à une épreuve orale sans se stresser. Quand on n’y arrive pas, on met de côté pour se faire expliquer par un copain ou un prof.
– Ne vous cachez pas vos lacunes et vos points faibles. Travaillez plutôt à les combler. Si vous avez peur qu’un sujet tombe, ne priez pas… travaillez-le !
– Faites des pronostics sur ce qui a plus de chance de tomber. À travailler en priorité. Toutefois, ne faites pas l’impasse sur certains chapitres. N’écoutez pas les rumeurs quant aux sujets possibles.
– Passez plus de temps sur les épreuves qui « payent ». Celles qui ont un fort coefficient.
– Pensez comment mieux utiliser votre temps, à commencer par les temps de transport. Vous pouvez en profiter pour penser à un plan, revoir vos fiches, lire un manuel.

Dans 30 jours, le Bac – Le SOS du candidat en détresse

Rien n’est perdu : le bachotage est souvent efficace. Il faut juste avoir les bonnes méthodes de travail. Ne pas s’éparpiller, et reprendre les chapitres un à un en faisant des fiches de révision. Vous pourrez vous servir des annales pour vous aider à aller à l’essentiel si les cours sont trop denses.
Organisation : vous allez devoir planifier votre travail. Maintenant, c’est travail 7 jours sur 7 quel que soit l’objectif à atteindre. Finies, les sorties ! Le week-end aussi vous devrez vous coller à votre bureau et pire, travailler double pour rattraper ton retard. Ne pensez pas à sécher des cours pour compenser le retard accumulé. Les derniers cours sont souvent les plus importants puisque les profs reviennent sur les points compliqués du programme.
Quelle que soit la situation dans laquelle vous vous trouvez, on (nous les profs) a tous connu des cas apparemment désespérés qui ont finalement sauvé leur peau. Des élèves sur qui on n’aurait pas misé un centime et qui nous ont étonnés, épatés, bluffés ou carrément éblouis.
L’impossible est donc possible.