Reprenez l’entretien du bassin. Nettoyez les plantes de berge. Nourrissez les poissons et remettez en marche la pompe et le système de filtration de l’eau.
#Progresser
Dans 71 jours, le Bac – Le plein de vitamines
– La vitamine B1 : elle permet l’utilisation du glucose à partir duquel le cerveau tire pratiquement toute son énergie. Une carence en vitamine B1 se caractérise par des signes de fatigue. La viande de porc, le foie de veau, les œufs, les pois, les lentilles, les haricots secs et les céréales complètes contiennent de la vitamine B1.
– La vitamine B5 : elle intervient dans les réactions permettant la libération d’énergie à partir des glucides et des acides gras. Jaune d’œuf, saumon, pastèque…
– La vitamine B6 participe à l’élaboration des neuromédiateurs : saumon, foie, haricots blancs, pois chiches et lentilles.
– La vitamine B9 : elle participe à la fabrication des cellules nerveuses : foie, œufs, légumes verts, maïs, pois chiches, amandes ou châtaignes.
– La vitamine B12 : elle participe à la régénération du système nerveux : produits laitiers, oeufs, viande, crustacés.
– La vitamine A : elle intervient sur la vision. Vous en aurez bien besoin. Les carottes, épinards, fraises, brocolis, poireaux, tomates et le cresson sont tous riches en vitamine A.
– La vitamine C : ses propriétés anti-oxydantes protègent les cellules de l’organisme du vieillissement et permettant de renforcer les défenses immunitaires : cassis, persil, poivron cru, zest de citron, kiwi, litchi…
5 avril – Au mois d’avril, la chèvre rit.
Bouturez dans l’eau les plantes d’intérieur qui s’enracinent bien (misère, papyrus, lierre à petites feuilles, impatiens, etc.)
Dans 72 jours, le Bac – Un peu de diététique
L’alimentation, voilà un facteur essentiel à ne pas négliger pour la santé du cerveau et du corps. Ceux-ci s’entretiennent et fonctionnent grâce à ce que vous mangez ! Pensez que votre cerveau, y compris la nuit, engloutit le tiers de l’énergie nécessaire à votre corps. Par ailleurs, il a besoin des meilleurs « morceaux » de votre alimentation pour régénérer ses tissus nerveux !
Plus vos repas seront variés et riches en éléments nutritifs, mieux votre cerveau sera en état de marche ! Que lui faut-il ?
Chaque jour, il a besoin de protéines, d’acides gras essentiels ; de glucides (sucres) complexes ; de vitamines ; de minéraux et d’oligo-éléments, des substances en quantités infimes, mais indispensables.
Les céréales complètes, le poisson, les graines cuites comme les lentilles, les fèves, les haricots blancs, rouges, verts, noirs, les pois cassés, le soja, les pois chiches apportent une richesse incomparable d’éléments nutritifs favorables au cerveau, particulièrement des protéines, des minéraux, des vitamines, des antioxydants et des fibres.
Les acides gras essentiels jouent un rôle de premier plan pour votre cerveau, surtout quand il est en surchauffe, comme il peut l’être pendant la phase de grandes révisions qui précèdent les épreuves. Pour un fonctionnement optimal du cerveau, il est nécessaire de respecter un bon équilibre entre deux acides gras essentiels : les oméga-3 (poissons gras) et les oméga-6 (abondants dans les « gras » d’origine végétale).
Les noix et les graines sèches, particulièrement les amandes, les graines de lin, de citrouille, de tournesol, apporteront d’autres types d’acides gras. L’huile d’olive riche en gras est un autre aliment favorable à la santé de votre cerveau. Recherchez les aliments les plus riches en antioxydants, qui sont la meilleure arme pour lutter contre les effets des radicaux libres.
4 avril – Au mois d’avril, le coucou chante.
Semez une nouvelle pelouse dans un sol ameubli, désherbé et soigneusement nivelé. Protégez les graines des oiseaux en posant un filet.
Leçon 1 : Soyez lucide
Soyez lucide : l’entreprise n’est pas une communauté de gentlemen dont le but premier est le bonheur de ses membres. Bien souvent, l’entreprise n’est que le reflet de la société avec tout son panel représentatif de caractères : les gentils, les affables, les polis, les timides, mais aussi les caractériels, les tordus, les
égoïstes et tous les autres comportements déplaisants qui influent sur notre moral et sur notre niveau de stress. Par ailleurs, le contexte économique mondial rend encore plus féroce la compétition entre les entreprises, ce qui accentue la pression et les comportements exigeants.
On comprend pourquoi le conflit est inhérent à la vie de l’entreprise. Y être confronté est normal et, pour peu qu’il reste contenu dans des limites acceptables, c’est même bénéfique…mais pas toujours simple à supporter. Cette Série ni aucune autre théorie ou méthode n’y changeront rien. Les courtisans, les intrigues et les comportements inacceptables existaient à la cour du Roi Louis XIV et existeront toujours. Dans certains cas, ce sera même vous qui serez considéré par vos pairs comme l’affreux loup de service (oui, injustement, bien sûr, ne refermez pas ce livre tout de suite !). En revanche, savoir à quoi s’attendre, connaître les comportements et les techniques possibles de manipulation, vous permettra d’être mieux préparé. Car l’inconnu fait peur et déstabilise. Il vaut donc mieux être lucide et savoir à quoi s’attendre.
Leçon 2 : À chacun ses motivations et intérêts personnels
Être lucide c’est bien, mais comprendre pourquoi l’autre est différent c’est mieux. Comment expliquer l’aveuglement de ceux qui ne voient pas les avantages de ma proposition et persistent à défendre une solution totalement erronée ? Répondre à cette question amène à s’interroger sur les motivations et intérêts qui nous animent.
Leçon 3 : Seul le résultat compte !
« La fin justifie les moyens », « seul le résultat compte », « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », « l’histoire ne retiendra que la victoire ». C’est par ces petits raccourcis simplistes que les courtisans d’hier et d’aujourd’hui justifient leurs actes moralement douteux. Pour eux, qu’importent les moyens ou la manière, du moment que le résultat est atteint. C’est une vision égoïste permettant d’atteindre son optimum local (ses propres objectifs de résultat) au détriment d’un optimum global (ses résultats, mais aussi ceux de ses collègues, de l’entreprise, l’environnement de travail, la qualité du relationnel, etc.).
Leçon 4 : L’importance des faits
Le courtisan que vous rencontrez à la machine à café ou en salle de réunion est en général habile. Ne comptez pas le coincer par un simple écrit qui contredit ce qu’il vient de dire. Car le bougre connaît l’importance et la valeur des faits : indiscutables, sans partis pris, ils ne peuvent être réfutés. Voici deux exemples de faits :
– le compte-rendu de la dernière réunion indique que M. Lelapin était absent ;
– le mois dernier, notre tableau de bord montre une perte de 5 % de part de marché sur le segment « carotte ».
Qui peut discuter de cela ? Dans ces deux exemples seuls les faits sont relatés. Il n’y a pas de place pour le jugement de valeur, l’interprétation ou une quelconque analyse. Tout cela viendra après, une fois ces faits partagés et appropriés par tous.
Leçon 5 : Damned ! Trahison !
Trahir quelqu’un, c’est tromper sa confiance, l’abandonner ou prendre de façon soudaine et imprévisible le contrepied de sa position. Par nature, un courtisan qui instrumentalise une relation afin de servir ses propres intérêts, trahira un jour ou l’autre. Il suffit par exemple qu’il décide de courtiser une autre personne, plus en vue, plus puissante et qui lui apportera avantage. Être trahi est sans doute la pire des situations : on se sent blessé et meurtri par cette confiance abusée. Pourtant, le traître suit sa logique implacable et ne verra dans son comportement ni lâcheté ni perfidie. Pour lui, la trahison est juste un moyen différent d’atteindre plus sûrement et plus rapidement l’objectif visé. Que cela fasse des dommages collatéraux ? Qu’il laisse sur le bord de la route ses anciens camarades ? Pourquoi pas. Il ressortira alors l’argument imparable de tous les égoïstes et arrivistes : « la fin justifie les moyens ». Phrase magique qui dans la conscience des courtisans absout toutes les félonies, comme on l’a expliqué dans l’épisode 3.