#Progresser

Dans 93 jours, le Bac – Pas de bonne note sans…bonnes notes.

Stocker les informations utiles : Au premier regard, prendre des notes permet de repérer, saisir et conserver des informations, quelle qu’en soit la nature. Elles sont alors prêtes à être stockées dans un cahier, un classeur, une chemise, un dossier ou dans le disque dur de son ordinateur.

Leur donner du sens : Dès la prise de notes – du moins dès qu’on les reprend pour les mettre au propre –, il est possible de faire des rapprochements, d’envisager des liens ou des comparaisons entre des données de sources différentes, voire de les confronter pour mener à bien un projet de travail.

Être actif : Noter favorise grandement l’attention, l’écoute et la compréhension. On comprend mieux quand le cerveau est actif. Prendre des notes, c’est éviter de rêvasser sur le discours d’une personne ou la page d’un livre. En même temps, c’est trier, en d’autres termes repérer l’essentiel, c’est hiérarchiser et parfois reformuler ce qui est dit ou lu avec ses mots à soi.

Aider la mémoire : Prendre des notes, c’est encore favoriser la mémorisation des informations. La mémoire a besoin en permanence de s’appuyer sur des traces (un mot, un schéma placé à tel endroit de la page) pour retrouver plus facilement les données. Et cela d’autant plus qu’on possède une mémoire visuelle. Ni lubie de prof, ni outil de la bonne conscience des élèves, la prise de notes permet à chacun sans conteste de mieux restituer les connaissances engrangées.

Dans 94 jours, le Bac – Un philosophe sommeille en vous

La philosophie consiste à étudier les grands problèmes de l’homme et de la vie comme la justice, la démocratie, le bonheur, le temps ou l’amitié… Cette simple introduction suffirait, normalement, à convaincre les plus réfractaires de l’intérêt de la philosophie mais bien d’autres arguments nous viennent en tête…

La philo, c’est pas utile ?
Parfois oui, parfois non ! Est-ce qu’on est obligé de ne faire que des choses utiles dans la vie ? (Ça, c’est déjà un sujet de philo en soi.) Chaque jour, on fait bien d’autres choses qui n’ont aucune utilité non plus : regarder les Ch’tis à Las Vegas sur la TNT, jouer à la PSP, écouter Eminem en boucle, regarder Nabilla faire semblant de téléphoner… Pourtant on les fait quand même, alors pourquoi pas de la philo ?

La philo n’a pas d’utilisation pratique dans la vie quotidienne ?
C’est ce qu’on croit ! En réalité, elle donne l’opportunité de développer son esprit critique. C’est grâce à cet esprit que l’on fera des choix (bons ou mauvais, d’ailleurs) tous les jours. C’est grâce à elle que l’on prend l’habitude de réfléchir, et prendre des décisions plus librement. On est (normalement) plus autonome dans sa façon de penser. La philosophie ne sert à rien d’autre qu’à soi-même, elle sert à penser librement.

Dans 95 jours, le Bac – Organiser ses week-ends

Le week-end se prépare pour profiter au mieux du temps libre.
1. Évaluer la quantité de travail à faire dans le week-end. Vous pouvez ainsi répartir le travail dans le week-end, et évitez la surchauffe.
2. Déterminez avec précision le temps de travail et le temps libre en fonction de vos contraintes. Calculez le temps à consacrer à chaque tâche. Regardez l’heure régulièrement pour tenir le délai fixé. On reste ainsi concentré, exit rêvasseries et autres dispersions. C’est du temps gagné pour la console, le pc, le sport, voir le musée !
3. Préparez les contrôles de la semaine pendant le week-end. Cela permet de chercher une information manquante en amont et d’éviter les révisions paniques de la veille au soir pour un contrôle oublié.
4. Le week-end est le moment idéal pour faire un point : pour soi, sur la semaine qui vient de passer (qu’avez-vous appris ? à quoi cela va vous servir ?), sur la distance déjà parcourue (bon pour le moral) et celle qui reste à parcourir (anticiper c’est alléger).

Dans 96 jours, le Bac – Réviser, une valse à 3 temps : le troisième pas, anticipez le rush final

La phase aigüe commencera deux semaines avant l’épreuve. Dans cette période, vous travaillerez à plein temps avec un rythme soutenu sur des horaires décidés à l’avance et auxquels vous vous tenez. Toutes les fiches seront revues plus rapidement. Cette fois, les détails seront également assimilés et remémorés. Vous réciterez vos plans à voix haute, cela peut vous aider. Pour garder le rythme, prévoir aussi des exercices et des QCM.
Une dernière révision à très grande vitesse pourra avoir sa place deux jours avant l’échéance. Elle permettra de se mettre en tête une dernière fois quelques détails difficiles et de renforcer votre mémoire visuelle. Pour les exercices les plus complexes, lisez les solutions et essayez de les retenir. Enfin, prévoyez impérativement une coupure d’au moins une demi-journée entre cette ultime révision et l’examen. Vos connaissances seront à leur place dans votre mémoire à long terme, sans sensation de télescopage et d’écrasement, et vos batteries se seront rechargées. Très important ! Il vous faudra arriver à l’épreuve reposé et avec les idées claires pour affronter au mieux les difficultés.
La phase aigüe commencera deux semaines avant l’épreuve. Dans cette période, vous travaillerez à plein temps avec un rythme soutenu sur des horaires décidés à l’avance et auxquels vous vous tenez. Toutes les fiches seront revues plus rapidement. Cette fois, les détails seront également assimilés et remémorés. Vous réciterez vos plans à voix haute, cela peut vous aider. Pour garder le rythme, prévoir aussi des exercices et des QCM.
Une dernière révision à très grande vitesse pourra avoir sa place deux jours avant l’échéance. Elle permettra de se mettre en tête une dernière fois quelques détails difficiles et de renforcer votre mémoire visuelle. Pour les exercices les plus complexes, lisez les solutions et essayez de les retenir. Enfin, prévoyez impérativement une coupure d’au moins une demi-journée entre cette ultime révision et l’examen. Vos connaissances seront à leur place dans votre mémoire à long terme, sans sensation de télescopage et d’écrasement, et vos batteries se seront rechargées. Très important ! Il vous faudra arriver à l’épreuve reposé et avec les idées claires pour affronter au mieux les difficultés.

Dans 97 jours, le Bac – Réviser, une valse à 3 temps : le deuxième pas, la mobilisation générale

La seconde phase commence au plus tard trois mois avant l’examen ou le concours. Elle doit permettre de revoir et de se remémorer toutes les fiches (on y reviendra) dans leurs grandes lignes. La réalisation d’un plan écrit ou la récitation à haute voix des parties principales est alors d’une grande aide pour une mémorisation plus active. Pensez à compléter vos connaissances par des quiz et des exercices afin d’évaluer votre niveau de réponse. Un programme de révision est alors bienvenu. Il tient compte des coefficients des épreuves (passez plus de temps sur celles qui rapportent plus), de votre rapport à la discipline (ne méprisez pas les disciplines qui vous sont indigestes, donnez-vous des raisons de les apprendre). Essayez de perdre le moins de temps en vous fixant des horaires et en vous concentrant au maximum sur votre programme de révision, en vous isolant de vos copains et/ou de votre famille. Pour tenir le choc face à une telle intensité de révisions, donnez-vous des respirations ; certaines courtes (5 à 20 minutes) dès que vous sentez que vous saturez. D’autres plus longues, mais pas plus d’une demi-journée par semaine dans cette période, et sur des activités qui ne vous tiennent pas trop à cœur. Pas trop d’émotions : on a beaucoup de mal à repartir ensuite !